Dans son acte d’accusation, qui doit encore formellement être accepté par un tribunal pour que s’ouvre un procès, le procureur turc estime que cette caricature «?n’entre d’aucune manière dans le cadre de la liberté d’expression ou de la presse », qualifiant le dessin de presse de « <vulgaire, obscène= » » et= » » déshonorant= » » « .<= » » div= » »>