Milliardaire et philanthrope, Bill Gates, 62 ans, n’est pas de ceux qui restent assis sur leur matelas cousu d’or une fois le succès obtenu et s’être retirés des affaires, en l’occurrence du géant Microsoft.
Il appartient à cette trempe d’entrepreneurs qui, après avoir révolutionné l’industrie des nouvelles technologies, aspire à une retraite active en explorant d’autres secteurs jugés plus prioritaires et en s’illustrant dans des causes plus essentielles : l’humanitaire.
A l’orée de l’an 2000, cette grande figure de l’informatique s’était rapidement imposée comme l’un des acteurs incontournables de l’entrepreneuriat engagé au service de la société, à travers la fondation créée avec son épouse : la Fondation Bill et Melinda Gates.
Dix-huit ans plus tard, Bill Gates se félicite des liens de coopération, étroits et fructueux, qu’il a tissés avec l’Arabie saoudite, et salue plus particulièrement les synergies positives établies avec différentes associations saoudiennes de bienfaisance qui sont impliquées dans des programmes visant à éradiquer la poliomélyte et à lutter contre la pauvreté.
« En Arabie Saoudite, nous avons lancé dernièrement une initiative conjointe avec la fondation du Prince héritier appelée Misk Grand Challenges, placée sous le signe de l’innovation et de l’autonomisation de la jeunesse », s’est-il réjoui récemment.
L’inventeur visionnaire de Microsoft a insisté sur l’importance de consolider des passerelles constructives entre l’Occident et l’Orient, dans la poursuite du même objectif louable et impérieux : agir concrètement pour soulager les maux du monde environnant, en s’appuyant sur des solutions novatrices dont lui seul a le secret.