SENTV : Je m’étais dit que désormais je ne répondrai plus aux mensonges et contre-vérités de certains leaders de cette pseudo opposition qui n’existent que par la délation, le mensonge et la médisance.
Mais il m’a été pratiquement impossible de me taire par rapport à cette énième mensonge du député Mamadou Lamine Diallo que je crois être atteint de mythomanie, cette tendance pathologique à la fabulation, à la simulation par le mensonge.
Sinon comment comprendre ces nombreuses affirmations toutes tordant le cou à la vérité.
Après ses mensonges sur le patrimoine qu’il prête au Président Macky SALL, le revoilà qui invente encore un projet de vice-président et une sale affaire de corruption qu’il prête encore au Président Macky Sall qui aurait proposé 100 millions aux députés de l’inter-coalition Yewi-Wallu qui rejoindraient la coalition Benno Bokk Yakaar.
Le mensonge et la volonté de nuire sont là encore manifestes.
Le Président Macky Sall qui a déjà, avec le soutien du Président Pape Diop, patriote dans l’âme qui a décidé d’apporter son soutien à la mouvance présidentielle pour éviter à notre pays le blocage dans le fonctionnement de nos institutions, la majorité absolue à l’Assemblée Nationale a-t-il besoin de corrompre des députés de l’opposition ?
Peut-il donner les preuves de ses allégations en nous donnant les noms des députés que le Président chercherait à corrompre ?
Ce faisant, n’est-il pas en train même de manquer de respect aux députés soumis à cette tentative de corruption ?
Mamadou, sache que si toi tu n’es intéressé que par l’argent qui t’a fait courir au niveau de toutes les institutions internationales, il y a encore dans ce pays des hommes et des femmes de valeurs qui ne peuvent être ni des corrupteurs ni des corrompus.
Au rang des premiers de ceux-ci le Président Macky Sall, homme de valeur et de vertu que vous tous leaders de la pseudo opposition réunis n’arrivaient pas à la cheville.
Ce n’est pas pour rien qu’après seulement trois ans d’opposition, il a été élu président de la République du Sénégal.
Le bilan élogieux de son septennat, résultante de la mise en œuvre du Plan Sénégal Emergent, traduction de sa vision stratégique pour le développement économique et social de notre pays à l’horizon 2035, a été la clé de voute de sa réélection au soir du 24 février 2019, dès le premier tour avec 58,27 % des voix.
A un peu plus de 16 mois de l’élection présidentielle de 2024, ils ne dorment plus du sommeil des justes parce que hantés par la forte possibilité de voir le Président réélu pour son second mandat de cinq ans.
En effet, la question de la troisième candidature est un faux débat parce que déjà réglé par la Constitution et le Conseil Constitutionnel.
En effet, l’article 27 de la Constitution de notre est on ne peut plus claire
« La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs. »
Cet article est constitué de deux alinéas qui semblent indivisibles.
Si la durée du mandat est de cinq ans, alors tout « mandat » qui n’est pas de cinq ans ne devrait pas être considéré comme un mandat.
Alors le mandat de sept ans ne serait pas considéré comme un mandat.
Aussi ne serait-il pas comptabilisé dans le décompte des mandats.
Par voie de conséquence, le mandat de 2019 serait le premier mandat du Président Macky SALL.
C’est l’ interprétation déjà faite par le Conseil Constitutionnel qui, dans sa Décision n°1/C/2016 du 12 février 2016, avait répondu à la saisine du Président Macky SALL sur la possibilité de la réduction du mandat que : « le mandat en cours au moment de l’entrée en vigueur de la nouvelle loi, par essence intangible, est hors de portée de la loi nouvelle » ; en conséquence, avait-il ajouté dans son argumentaire que : « la loi nouvelle sur la durée du mandat du Président ne peut pas s’appliquer au mandat en cours. »
Voilà donc une interprétation claire qui devrait donc mettre fin à toutes les spéculations sur une possibilité pour le Président de présenter sa candidature à la présidentielle de 2024.
Quoiqu’il arrive, nous présenterons donc la candidature du Président Macky Sall qui, compte tenu de tout le travail accompli à la tête de ce pays, sera encore plébiscité par le peuple sénégalais.
Nous devons, nous tous sonner la grande mobilisation pour faire cap sur 2024 afin de créer les conditions d’une brillante réélection du Président Macky Sall dès le premier tour.
Le rouleau compresseur est en marche et a déjà eu raison de l’opposition qui, sentant qu’elle sera humiliée aux élections des Conseillers au Haut Conseil de Collectivités Territoriales, a choisi la stratégie de boycotter ces élections. Mais le boycott met à nu leur incohérence si on sait que ces partis comptent des conseillers dans l’actuelle équipe du HCCT qu’ils menacent de dissoudre une fois arrivés au pouvoir.
Pour donner le maximum de chances de succès à la candidature du Président Macky Sall, travaillons à remobiliser nos bases que nous devons approcher et voir dans la mesure du possible comment faire pour prendre en charge leurs préoccupations.
C’est à cette tâche que s’attelle quotidiennement le Président qui ne peut pas être auprès de ces bases auprès de qui nous devons être son relais de transmission.
2024 c’est déjà demain, et demain, il fera jour.
Unis, nous serons forts, divisés, nous serons vulnérables !
Vive le Président Macky SALL !
Vive la Nation sénégalaise !
* Député Maire de Bakel