De mémoire, nous ne nous rappelons point d’être en déphasage avec les Valeurs qu’incarnait notre cher pays.
La décence, le respect, la tolérance, sans pourtant oublier Sagesse et Politesses, les maîtres mots d’un homme vertueux.
LE MONDE S’EFFONDRE, sans pourtant faire dans l’extrapolation, nous pouvons dire avec certitude que le Chef a perdu le contrôle de son navire, laissant les brebis galeuses faire la loi dans le navire.
Il est alors fondamental de se poser la question à savoir, comment un commandant de navire qui ne peut point mener sa barque à bon port, pourrait prétendre diriger une nation entière.
Le paradoxe dans un notre société, c’est que l’on se réjouit de là de la promotion de la médiocrité et de l’indiscipline notoire.
Et cela, partant des plus hautes institutions de notre république.
Les dérives constatés ces derniers jours, de la part de responsables du parti au pouvoir, ne sont que la partie visible de l’iceberg.
Le mal est beaucoup plus profond, et ni une exclusion, ni une sanction à hauteur des faits n’y pourront absolument rien.
Tel dit l’adage :« on aura beau laver un corbeau, il restera toujours noir »
La solution la plus adéquate en pareil circonstances, est juste destitution d’une partie entière qui se réclame républicain.
Qu’est-ce qu’être républicain si ce n’est être une personne qui souhaite instaurer une république ou qui défend ses valeurs.
Nos amis du pouvoir eux, ne connaissent certainement pas cette notion. Les valeurs, c’est le cadet de leurs soucis.
Ce qui les intéresse, s’engouffrer dans une memboulat financière à en finir
Vivre sur le dos du sénégalais lambda, qui avec sa naïveté et son insouciance continue à vivre dans l’inconscience de tout ce qui se mijote dans son dos.
Continuant à se donner en spectacle, partout et n’importe où et cela jusqu’à l’hémicycle des soit disant représentant du peuple.
Au lieu d’en finir avec ses dérives perpétrées, ils se contentent juste de noyer le chat noir, oubliant parfois qu’on finit toujours par répondre de ses actes.
L’adjectif insulteur de la République devrait même être pluraliser à plus grandes échelles.
Nous sommes témoins des faits, et cela ne date pas d’aujourd’hui.
Notre cher pharaon Cheikh Anta doit être vraiment déçu de voir son pays être diriger de la sorte.
Limamou Diop Secrétaire national en charge de l’intégration africaine du parti URV