Les polices espagnole et marocaine ont arrêté cinq personnes, présentées comme des extrémistes présumées, dans le cadre d’une opération conjointe. Parmi les mis en cause, figure un Sénégalais dont l’identité n’est pas, selon Libération, communiquée. Les perquisitions menées ont permis “la saisie d’armes blanches sous forme de grand coutelas et de tenues militaires”.
Les premiers éléments de l’enquête indiquent que les membres de cette cellule, qui étaient en contact avec des combattants sur la scène syro-irakienne, ont adhéré à la compagnie de propagande de la pensée extrémiste et d’apologie des actions sanguinaires du groupe Daesh. Ils œuvrent aussi pour le recrutement de jeunes dans les deux pays pour commettre des actes terroristes sous la bannière de cette organisation.